L’égrégore des réseaux sociaux

J’aime beaucoup le travail de mon équipe de communication Kimy et Emilie de Brandbox qui chaque mois trouve assez de créativité pour mettre mes recherches, textes, partage et amour en valeur.

Internet est la plus puissante conscience collective qu’a connue la Terre jusqu’ici. Passer par cet outil est vraisemblablement le plus efficace pour éveiller le monde. Cela m’arrange car naviguer de continent en continent comme dans le temps sur un bateau ne m’aurait guère plu.

Pourtant, rarement, mais parfois quand même…de très négatifs propos sont écrits en “Commentaires”. Leur droit d’exprimer leur vérité, leur croyance et même leur mauvaise fréquence je le respecte et leur envoie toujours un message de bienveillance.

Cette négativité m’a tout de même questionnée et m’a donné envie d’étudier l’impact que ça pouvait avoir sur la conscience collective rattachée à mes réseaux sociaux c’est-à-dire mon équipe de communication et les gens qui me suivent, en d’autres termes, vous!

J’ai créé une conscience collective « d’expression, de partages et de communication » et comme avec ma conscience individuelle, je m’efforce de supprimer toute négativité extérieure afin que mon futur n’en soit pas marqué. Le négatif qu’imposent ces personnes sur ma page doit avoir un impact sur votre vie et je dois savoir jusqu’où, afin que mes messages d’amour ne se transforment pas en égrégore négatif.

A partir de chacune de mes pages (Facebook et Instagram) j’ai vérifié le niveau de l’impact négatif sur vous et mon équipe en augmentant au fur et à mesure le pourcentage de commentaires négatifs sous forme d’équations. Après de nombreux algorithmes et des heures de transes, j’ai constaté que c’est à partir de 20% de négativité que votre matrice subit les impacts de la fréquence négative.

Immédiatement, même à contre-cœur, je me suis désabonnée de certains comptes où le négatif me paraissait bien plus élevé que le bien qu’il offrait et j’ai supprimé certaines conversations sur WhatsApp ou les gens m’écrivent parfois des romans de souffrance.

Mes pages, quant à elles, ne dépassent pas les 20% mais si c’est le cas sur les votre, pensez à supprimer les commentaires pour diminuer la négativité et donc l’impact sur vous et l’entourage qui vous suit.

Vous avez le droit au meilleur même lorsque les autres sont en colère et qu’ils tentent de se soulager de leurs peurs. Soyez également attentif aux consciences collectives que vous avez choisies d’intégrer.

Merci Internet d’être si puissant et d’être un si bel outil pour mes recherches !

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