La première semaine fût difficile pour trois raisons :
La première, est la responsabilité. Lorsque vous avez passé toute votre vie à chercher des solutions de guérison, de conseil, d’écoute à l’extérieur de vous, tout d’un coup compter sur soi, responsabiliser notre être entier de notre propre bonheur est un fondement inconnu qui est venu perturber beaucoup d’entre eux.
La deuxième raison, c’est que les outils à mettre en place venaient contrarier leurs croyances et leur quotidien. Nos habitudes et nos croyances sont là pour nous rassurer alors les modifier met en péril leur zone de confort.
Nous passons une grande partie de notre vie à nous rassurer pour apaiser nos peurs : CDI, propriétaire, retraite, mariage, économie, assurance…alors nous avons beaucoup de mal à accepter qu’une simple fréquence puisse nous débarrasser de nos peurs. Certains volontaires ont donc abandonné certains outils ne parvenant pas à CROIRE que le nouvel outil serait plus bénéfique que leurs habitudes et concepts rassurant. Pourtant dans le questionnaire préalable, tous les volontaires ont déclaré à la question : Que seriez-vous prêt à faire pour être enfin dans la bonne fréquence ? Changer de vie ou TOUT. Entre volonté et croyances il n’y toujours qu’un seul vainqueur !
La troisième raison pour laquelle la première semaine fût difficile c’est l’impact de la conscience collective. La conscience collective matérialise l’ensemble des fréquences des participants alors il est normal que les quelques sujets qui étaient au début de l’expérience dans la bonne fréquence ai été perturbé par les autres personnes majoritairement dans de mauvaises fréquences.
En revanche, il y a une chose incroyable qui s’est passé la deuxième semaine : ils ont tous conscientisé l’expérience donc conscientisé qu’ils pouvaient agir eux-mêmes sur leur fréquence et donc sur leur futur.
Peut-être qu’il faudra encore plus de temps pour qu’ils trouvent les bons outils ou qu’ils comprennent que nous n’avons, au final, besoin d’aucun outil.
Leurs peurs ne pourront disparaitre que s’ils sont suffisamment longtemps dans la bonne fréquence. Ce cercle vicieux d’être dans la bonne fréquence pour supprimer les peurs et comment être dans la bonne fréquence en ayant peur…ça je commence doucement à trouver une porte et grâce à tous ces volontaires !
Laquelle ?
Nous avons peur pour deux raisons. La première est dû à la mauvaise fréquence et la deuxième est que nous ne comprenons pas le sens de l’existence. Si nous ne pouvons pas modifier notre fréquence lorsque nos peurs sont trop fortes en revanche, on peut agir pour redonner du sens à l’existence.
Mais ceci est une autre expérience que je poursuivrais avec d’autres volontaires en septembre.
Avec amour,
Chloë